Bonjour et bienvenue chez Calos

29 février, 2008

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Voilà le début de ce site que je pressent un peu foulli, plein d’anecdotes, d’humour douteux et de chaleur. Espérons qu’il transporte avec lui un peu de mon monde pour vous y faire entrer, même si j’en ai peur ce sera par la petite porte. Cependant il semble que ce blog ne sera que le reflet de mes errances nocturnes dans les semaines à venir avant que je puisse y consacrer l’attention que s’en conteste il mérite puisque je l’aime déjà… d’ailleurs vous qui l’aimer aussi vous m’en donner combien dite ?

Calos marchand de bonne humeur

Un soir de juin

9 juin, 2011

 

 

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Voilà de nombreux mois que jen’ai pas pris la plume. Voilà de nombreuses semaine pourtant que l’envie ne manque pas. La vrai question demeure depuis ces années passée loin de ce blog. Pour raconter quoi

 

? ces dernières années m’ont semblées me désapprendre tous ce que je prenais comme un acquis. M’ont sans doute donner une part d’humilité. J’ai parfois du mal à me rappeller qui j’étais … j’ai souvent du mal à me figurer qui je suis. C’est sans doute pour ça que je pars régulièrement loin de toutes mes attachent …. pour me rappeller qui je suis. Pour faire correspondre mes dire à une réalité.

 

Dans cette réalité une chose est certaine. Le réactionnaire que j’étais est mort, ou bien profondement endormi, depuis quelques années. Je crois que je n’ai plus envie de changer les choses, de m’indigner devant l’injuste, de mettre une claque au bien penser mondain qu’étaille des arguments creux appris par coeur au fil des différents systèmes d’information. Je suis lassé de me battre contre des moulins et des gens qui s’écoutent parler. Pour une personne à qui ont arrive à ouvrir les yeux combien vont rester sur leurs égocentriques discours sans même écouter les paroles prononcée ? cette simple révélation m’aurais provoquer des frisson d’horreur il y a quelques année. Ce n’est pas que je ne m’indigne plus de ce monde qui oublie de vivre et se prend un peu trop au sérieux. Non, je reste ce jeune utopiste qui voudrais vraiment croire que l’homme va vers un « mieux ». C’est juste que j’en ai plus rien à branler de l’expliquer à des gens qui ne savent pas écouter. Notre société nous explique gentillement que socialement il est adapté d’écouter l’autre. Pourtant qui écoute vraiment ce que vous dites ? qui tente de vous comprendre quand vous parlez ? certain ami, certaines personnes ouverte, certain petit malin qui cherche des failles dans votre armure.  Le reste, soit un bon quatre-vingt-dix pour cent des gens que vous croiserez dans votre vie, n’en aura rien à faire de ce que vous voulez dire mais assimilera très rapidement ce que ça veut dire pour lui. Alors autant éviter de vaine argumentation qui en plus d’ennuyer et de lasser votre auditoire vous ferons juste passer pour ce que vous ne pensez pas être.Un aigri pinalleur qui tente d’imposer une idée qui est adsurde car elle ne viens pas de vous et qui se prend en plus la tête à écoutez et rebondir sur vos argument en acceptant d’avoir tord. A force de voir ces gens que vous croisez, cotoiyez, aimez juste ne pas apprendre à écoutez vous vous enfermer dans ce cercle magique du rien à branler premier et devenez ce que vous n’avez jamais voulu être: un rétheur. A savoir une personne qui prêche tous arguments pouvant faire réagir les gens. Qui rebondi sur une erreur de fond ou de forme. Qui pinnaille effectivement sur les dérive supposé de votre penser et prend à parti un auditoire indigné pour vous faire réaliser le mépris que les gens ont pour vos bilveusés. Et vous savez quoi … la rhétorique fait mouche presque à chaque fois à condition d’avoir un minimum confiance en soi et quelques répartie sonnante. au delà de cela vous arriver à ranger des gens à votre vision des choses. Voilà le fond du problème. Ces gens devraient être libre et être amener à une réflection qui va les ouvrir sur autre chose. en faisant cela ont ne fait que déplacer un problème puisque qu’il se penserons tenant d’une grande vérité. c’est pour ça que je suis lasser. Croire que les gens vous écouterons si vous ne les défié pas est inutile mais les obliger par truchement à penser ce que vous penser est stupide. En quoi en ce cas nous reste-il à discourir avec l’autre si chacun tente de son coté de brouillé les cartes du jeu ?

 

 

Voilà bien pourquoi le réactionnaire que j’étais est mort. je me joins à une discution si on m’y invite pour y apprendre de ceux qui m’entourent … mais très rarement vous m’entendrez énoncer mes propres idées sur la question. A quoi bon puisque les gens ne s’écoute pas. Une de mes amie à dit un jour: « on peu s’appeller d’un bout à l’autre de la terre pourtant on ne s’écoute pas ». peu être que si les gens y mettaient du leur ? peu être que si il pensait à parler à celui qui n’est pas d’accord avec eux et non par à lui prouver pourquoi ils ont raison …. peu être alors qu’il réapprendraient à écouter.

 

Voilà un sujet bien sérieux ma fois pour une reprise de juin.

 

calos marchand de roses

 

 

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Les 3000 sabres de la montagne sous le ciel

1 octobre, 2009

L’histoire d’un homme et de son entourage. Cette histoire est en deux partie puisque pour en parler dignement il faudra parler

 

du monde réel et du monde crée.

 

 

 

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Cette histoire commence donc il y a bientôt six mois lorsque qu’un ami me propose de me lancer dans une « murder » japonisante (murder: jeu d’interprétation théatrale d’improvisation dans une aventure policière voir cet article [url]http://fr.wikipedia.org/wiki/Murder_party[/url] pour plus de précision). L’idée m’avais effectivement plusieurs fois traversé l’esprit mais j’avais toujours repoussé cette création à plus loin. Il est probable que sans l’esprit dynamique de mon co-auteur et co-organisateur rien n’aurais eu lieu.

 

 

Donc nous somme parti sur la création d’un monde que je voulais hors du temps et dans un espace indéfini. Hors du temps pour une raison simple, je suis un ancien étudiant en histoire et me placer dans le temps est très contraignant car soit on fait une reconstitution exacte d’un moment … soit on ne fait rien. Ce placement dans un monde imaginaire mais inspiré d’un monde moderne japonais me laissait donc libre d’anachronisme et de modification historique. La période joué aurait pu s’incrire dans un pseudo 17éme siècle bien modifier (oui on a intégré certaines notions tirer directement de l’idéal médiéval japonais). Le cadre a quand à lui été inventé de toutes pièces pour correspondre au attente de nos personnages.

 

Hum petite apparreté pour expliquer la différence joueur/personnage. un joueur est dans tous jeu de rôle une personne physique et réel qui donc exécute l’action de jouer son personnage. Un personnage est imaginaire et crée pour le divertissement du joueur (en général en partie par l’organisateur et en partie par le joueur lui même du fait de son interprétation).

 

Donc nous avons écrits à quatres mains l’univers du clan Matsumoto. Nom simpliste, comme de nombreux autres de notre jeu. Pourquoi des noms simpliste ? parce que nous somme des occidentaux qui jouons des japonais d’un autre temps. Aucun de nous, ou presque, ne parlent japonais et donc aucun de nous ne serait capable d’interprété un nom dans le contexte de l’époque (puisqu’en plus aucun de nous, ou presque, n’est née à l’aire Edo). donc les grandes régles ont été assez vite fixée. ce serait une expérience entre murder traditionelle et jeu de rôles grandeur nature à implication politique. Le but des joueur est de discuter entre eux pour avancer, de tenir leurs personnages et de répondre à leurs interlocuteur. Dans ce cadre la découverte du crime, et donc du criminel, n’est qu’une part négligeable de l’histoire que nous avons crée.

 

Les raisons de ces éloignement de la murder « classique » sont du à plusieurs choses. D’une part nous somme un groupe de joueur qui commençons à bien connaitre les composantes d’une murder et donc modifier la donne sur une base connue nous semblait interressant tant pour les joueurs que pour les futur organisateur. Attention n’allez pas croire que je décrit une murder « classique », je dis juste que son caractère codifier n’allais pas avec ma façon d’écrire les choses. La seconde raison de ce choix est de trouver des solutions annexes au jeu de « cherche indice » de ce type de jeu. En effet mon expérience de joueur m’a appris qu’il peu être frustrant de ne faire que de la fouille de pièce dans une partie.

 

Donc pour modifier cela nous avons décider que le meurtre n’en serait pas réellement un, dans un premier temps, pour casser les attentes des joueurs à leur arriver. Nous avons aussi décider que differents systèmes serait écrit pour théatraliser certaines actions. Les deux principaux systèmes crée pour cette murder sont le système de combat et le système de bataille.

 

Le système de combat se devait d’être interactif et surtout de ne pas lasser les joueurs alentour qui le suivrait. Il se base sur deux logique. D’une part la logique de la rapidité et de la simplicité, d’autre part la logique de la théatralité. Nous nous somme inspirés du système de duel de « un pirate ne meurt jamais » écrite par fredou (http://pagesperso-orange.fr/claire.fred/index2.html). Les duels y étaient réglés par un duel d’insultes (façon monkey island pour les connaisseurs :p). Dans cet esprit le système dévellopper par conan (mon co-orga) se base sur un double pierre-feuille-ciseau. Cet simple car tous le monde y a jouer dans sa vie et nous avons juste changer les noms pour rendre les règles assez obscure pour faire la difference entre deux combatants. Nous l’avons rendue théatrale grâce à l’utilisation de « technique spéciale », élément très inspiré de nos lecture manga et donc très décalé c’était la grosse touche d’humour du jeu, qui oblige les combattants en se retournant à déclamer le nom de la technique utilisé (genre: la paume de boudha ou les milles vagues de yaryu).

 

Le système de bataille reposait sur une carte. Carte réaliser pour l’occasion, suffisament réaliste et détaillé pour que l’on voit les opérations de troupe, mais suffisamment vague pour qu’on puisse douter de la façon de faire. La guerre (qui tombe en fin de partie) sera l’occasion de nombreuse discutions entre les chefs de familles pour les répartitions des troupes sur les frontières mais aussi pour leurs placements vis à vis du territoire qu’il veulent gagner. Voilà la logique prédominante de cette carte. En théorie les joueurs peuvent même avant l’annonce officiel déclarer la guerre au clan ennemie (j’en parle car dans notre partie c’est ce qui as failli se passer ^^). Les régles était simple aussi pour perdre les joueurs. on jouait sur des longueurs de déplacement de troupes d’un coté comme de l’autre et donc sur des effets de bluff. L’intérêt est que nombre d’entre les joueurs ai peur de perdre leur terre à un moment ou à un autre.

 

Voilà l’essentiel de la partie novatrice à laquelle s’ajoute une partie anexe. Anexe parce qu’elle a à être repensée,  le système d’étiquette.

Tiens, vous ici ?

29 septembre, 2008

 

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    Voilà que je renoue avec mon ancien site. Envie d’écrire ? ce soir oui certainement. D’être lu? quel importance. Les quelques mots qui glisserons ce soir ne serons ni empruns de grandes leçons, ni d’un comique grandiose, ni d’un drame absolu. Vous connaissez ces jours où l’on regarde par la fenêtre pour n’y voir que la répétition ? ah, vous aussi ? Le temps nous apprend pourtant à aimer cette sensation de répétition, cette impression de déjà vue, ce vide temporel.

    Pourquoi es-ce que certain matin on se léve avec la désagréable sensation qu’on ne veux plus de cette boucle ? qu’es-ce qui change par rapport au autre ou on l’accepte ? un peu plus de fatigue, un peu moins de tendresse, un thé dégueulasse ? notre vie est basique. Au final on bouffe, baisse, aime, chie, bosse et apprend. Tous ça dans un shaker qui y donne tous le piment c’est vrai mais notre vie est simple. Certains vont aimer ce mélange et trouver le cocktail divin tandis que d’autre demanderons pourquoi on à mis du poulet dans un tit punch.

    Alors es-ce que la lassitude vient des questions qu’on se pose ? possible. peu être qu’il faut parfois oublier ses questions afin de savourer une vie simple. Le questionnement qu’il soit sur des questions existancielle (genre es-ce que walker passe ce soir ?) ou d’un fait bien plus basique impose une avancée. ne se pose-t-on pas des questions pour y répondre et donc avancé ? alors se poser trop de questions et faire du sur place nous rendrait las.

    Voilà pourquoi dieu créa les drogues diverses, les jeux vidéos et l’amour. Le dernier car en un phénomène il pose plus de question dans la vie d’un grand philosophe que la recherche de sa vérité. Les jeux vidéos parce qu’on oublie notre vie pour se poser les questions qu’un autre à prévu pour nous. Les drogues ben ….parce que quoi… pfff. Et pourtant chaque jour n’est-il pas un don d’unicité ? Toutes les joies et les peines que l’on trouve ne font t’elle pas avancée ?

    Une phrase d’un film de midinette disait « l’important ce n’est pas de gagner ou de perdre, c’est la manière de jouer ». La vie c’est un peu ça. Peu importe que vous ayez répondu à toute vos questions quand la faucheuse arrivera. Peu importe que vous soyez un mec bien ou la pire des raclures. Ce qui importe au final c’est le chemin qu’on parcours chaque jours. C’est les leçons qui nous font arriver un peu plus loin. Je vous rassurent de suite aucun de nous n’arrivera au niveau bonus de ce jeu de la vie. Il n’y a pas de sauvegarde et on rate souvent les points de passage. Mais tous les jours et chacun dans notre quotidiens on apprend un peu plus ce que ça implique d’être Humain.

    Je sens que je vais relire ce texte demain matin et le supprimer parce qu’il ne voudra plus rien dire. Car demain je serais différent.

 


Calos, marchand de nostalgie

 

 

 

 

 

 

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L’histoire du lièvre et du scorpion

30 avril, 2008

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Dans les temps sans fin du royaume animal le lièvre cours et évite le danger depuis l’aube des temps. Que celui qui a jamais vu l’un de ces coureurs émérites tombés dans les pièges des mal intentionnés se lève aujourd’hui. Dans les vertes prairie il déjouait la ruse du renard, la rapidité du loup, et la force du lion. Pourtant c’est bien de la première erreur de ce coureur des prairies que nous vous parlerons aujourd’hui. Au matin de ce jour le lièvre cours hors de son terrier décidé a faire une fois de plus preuve de la vitesse de sa course et de son esprit. Arrivant devant chez le renard il s’aperçoit que celui-ci ne s’intéresse pas à lui. Étonné et déçut de ne pouvoir encore lui jouer un mauvais tour le lièvre lui demande pourquoi il ne cours pas après lui et voici la réponse de ce dernier:

« -mon jeune ami je ne me fatiguerais plus a tenter de paraître aussi vif que vous … je préfère encore le faire croire au être qui n’ont pas votre esprit. »

Fier de ce renoncement mais déçut de ne pouvoir plus jouer avec le renard le lièvre s’en va courir autour du loup au aguets. Ce dernier fou de rage de voir le lièvre perturber sa chasse tente de se saisir de l’impertinent. Malheureusement ses mâchoires puissante et précise démembrèrent la branche derrière le lièvre malin. Alors que d’un pas énervé le loup se dirige vers la foret le lièvre lui demande pourquoi il s’arrête en si bon chemin alors qu’un bon repas l’attend et voici la réponse de ce dernier:

« -mon rapide ami je ne me fatiguerait plus a tenter de vous croquer puisque mon estomac crie famine je m’évertuerait a chasser ce que je peu manger. »

Fier mais déçut le lièvre cours vers les terres de sa majesté le lion. Ce dernier dormant encore se leva agacer après que le lièvre sur le dos lui ai sauter. D’un geste brutal de la patte le lion tente d’éventrer l’impertinent puis voyant le voyou se rire de lui à quelques mètres de là il se recouche d’un air las. Le lièvre lui demande alors pourquoi il ne protége pas son territoire en le jetant dehors et voici la réponse de ce dernier:

« -mon stupide ami je ne cours pas après ce que je ne peu attraper et je préfère laisser a d’autre la tache de venger l’impertinence dont vous faite preuve. »

Fier peu être mais seul et sans occupation le lièvre s’ennui depuis quelques semaines au fond de son terrier. A quoi lui sert-il d’être le meilleurs si personne ne joue avec lui. Alors que le rapide lièvre broie du noir il entend qu’on l’appelle. Sortant la tête de son terrier par une issue éloigné il voit le scorpion l’attendant devant son entrée. Gardant prudemment ses distances le lièvre salut le scorpion:

« - hé vil animal de l’ombre que fait-tu prêt de mon terrier ? tu pensait me surprendre si facilement ? tu ne connaît dont pas ma réputation ? le renard, le loup et le lion m’ont déjà reconnu comme supérieur à eux … passe t’on chemin tu ne fera pas mieux qu’eux. »

Le scorpion avec sa verve légendaire répondit:

« - ah mais tu te méprend sur mes intentions c’est justement parce que ces grands animaux m’ont avouer n’avoir jamais réussit à t’arrêter que je suis venu te voir. J’aurait besoin de tes services puisque les rats m’ont pris mon poison et que je ne peu plus piquer pour me nourrir. »

Joignant l’acte à la parole le scorpion plante son dard dans le sol et le remonte montrant que rien ne s’écoule.

« -si tu m’aide tu sera estimé non plus comme le vainqueur de ces trois idiot mais comme le sauveur du grand et vil scorpion …qu’y a t-il de plus prestigieux ? »

Réfléchissant un instant le lièvre comprend qu’il vaut mieux apparaître comme un sauveur que comme un fuyard.

« bien je vais t’aider scorpion, ce soir j’aurais récupérer ton venin. »

Le lièvre cours vers le dépotoir des rats les poussant sur son passages, prenant le poison et s’enfuyant aussi vite qu’il était arriver. Alors fier de lui tandis que le jour est sur le point de finir il arrive devant le scorpion.

« Voilà de quoi vous sauver maître scorpion. »

Ce dernier le pique tandis que le vif animal lui remet le butin. Lentement le petit animal sent le poison le paralyser. Alors le scorpion parla et voici ce qu’il lui dit:

 » finalement tu n’était ni le plus malin, ni le plus rapide, ni le plus fort mon jeune imbécile … tu était juste le plus prétentieux. Maintenant que tu n’est plus là le lion , le loup et le renard pourrons retrouver leurs place et me remercier de t’avoir éliminer. Je regretterait tous de même que tu n’ai pas pu mieux servir mes intérêts. »

Le scorpion partant en riant laissa le Lièvre agonisant certain que les charognards finirait ce qu’il avait commencer.

 

 

 

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L’honneur et le reste aussi

3 avril, 2008

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Il y a de cela quelques année j’avais tenter d’imaginer ce que serait le chevalier idéal. Bien sur je pensait au sens romantique du chevalier qu’on voit dans les livres lu au coin du feu et pas à l’homme de guerre brutal et borné que j’ai apprit à connaitre durant mes études. Mais il en était ressortie une chose qui me fait encore sourire aujourd’hui. J’avais défini sept valeurs fondatrices de l’honneur du chevalier: La protection, l’abnégation, le courage, la foi, la parole, la force et la mort.

La protection vient du fait que je n’imagine pas un chevalier sans rien à protégé. Il n’existe et ne survit que dans le but de protégé une personne ou un idéal sinon il na survivrait pas au combat que lui impose sa vie. Cela s’intègre dans la vision romantique par le respect du à la dame de son coeur mais au final c’est le monde entier qu’il voudrait protégé pour elle.

L’abnégation est lié au fait que pour suivre la voie de l’honneur pur il ne faut plus avoir aucuns objectif personnel. Plus aucune envie de dépassé les autres sur un domaine ou un autre. Cette valeur est intimement lié à celle de la protection car on ne peut pas prendre soin de quelques chose ou de quelqu’un si on ne s’y livre pas pleinement. Elle est aussi fortement lier à la valeur de la mort que je décrirait plus loin.

Le courage car la voie que suis cet homme sera semé de trouble et là ou d’autre courberais le dos en s’avouant vaincu quelqu’un qui protége ne peu baisser les bras. Ce n’est pas le courage tel que notre société l’entend mais plutôt la faculté à rester debout quoi qu’il advienne. Le courage ne veut pas dire dans cette perspective que l’on a pas peur mais qu’on l’affronte pour la cause que l’on défend.

La foi qui est aussi lié à la protection. Il faut avoir la conviction que ce que l’on fait est juste et que l’on fera avancé les choses par les actions entreprises dans ce sens pour se livrer totalement à une idée, un principe ou une personne. C’est l’essence même du chevalier qu’est la foi car au fond de lui même elle est l’idéal vers lequel il veut tendre à chaque instant.

La parole c’est la volonté de ne pas mentir. Cela parait très romantique exposé comme cela j’en suis conscient mais dans le fond il est illogique qui confie sa vie à un idéal, qui peu éventuellement être personnifié, ne tienne pas compte du crédit qu’on puisse lui accorder. Si il veut que l’on entende son message il doit être proche de l’image que se fait son interlocuteur de la pureté. Le mensonge lui est interdit dans la mesure ou cela ne contrarie pas les autres éléments de son intégrité.

La force est l’élément le plus tangible des sept règles. Il semble que pour accomplir un objectif il faut s’en donner les moyens et il semblerait que quelqu’un qui se dit née pour protégé ne puisse pas passer à coter d’une maitrise de son corps ainsi que de celui de ces adversaire. Cette force brute n’est pas le centre de ma vision de la chevalerie pour une raison simple: un guerrier n’est pas un chevalier grâce à sa force mais grâce à son mental.

La mort est une finalité de sa quête quel qu’elle soit. Alors il doit y être préparer et ne pas la craindre. L’homme qui ne craint pas la mort est invincible disent les japonais et en effet celui qui est déjà mort n’a plus rien à perdre. Avec l’abnégation et sa renonciation à ses but individuel il lui faut aussi accepter l’idée de la mort.

 

Pourquoi parler de cela alors que ces règles ont été penser pour un roman que je n’écrirait pas et pour un temps qui n’existe plus ? Bien parce que en me lançant dans un jeu de rôles nommé L5A, dont j’ai déjà brièvement parler, j’ai retrouver sept règles définissant la noblesse d’un samouraï. Cela fait quelques année maintenant mais je ne peu que m’amuser de cette correspondance entre deux monde très opposé (je ne connaissait strictement rien des pays asiatique lors de cette réflexion). Les règles sont différentes mais certaines finalité reste les mêmes. La protection est au centre des devoirs d’un samouraï. Alors je me pose toujours la question de savoir si nous subissons totalement la morale qui nous est inculqué dans notre civilisation ou si elle est modifié par notre vécu et notre sensibilité.

Maintenant que de nombreuses année sont passer je voit que les chevaliers était juste des guerriers tout comme les samouraï. Rafiné et instruit peu être. Mais la naissance n’apporte pas l’honneur c’est la vie qu’on choisit de vivre qui nous l’instruit. Chaque homme ou femme à sa vision différente de ce qu’est l’honneur, de ce qu’il apporte au niveau personnel et ce même sans le savoir. Pourtant peu d’entre nous sont capable de tous délaisser pour un but estimer comme supérieur.

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