Dans les temps sans fin du royaume animal le lièvre cours et évite le danger depuis l’aube des temps. Que celui qui a jamais vu l’un de ces coureurs émérites tombés dans les pièges des mal intentionnés se lève aujourd’hui. Dans les vertes prairie il déjouait la ruse du renard, la rapidité du loup, et la force du lion. Pourtant c’est bien de la première erreur de ce coureur des prairies que nous vous parlerons aujourd’hui. Au matin de ce jour le lièvre cours hors de son terrier décidé a faire une fois de plus preuve de la vitesse de sa course et de son esprit. Arrivant devant chez le renard il s’aperçoit que celui-ci ne s’intéresse pas à lui. Étonné et déçut de ne pouvoir encore lui jouer un mauvais tour le lièvre lui demande pourquoi il ne cours pas après lui et voici la réponse de ce dernier:
« -mon jeune ami je ne me fatiguerais plus a tenter de paraître aussi vif que vous … je préfère encore le faire croire au être qui n’ont pas votre esprit. »
Fier de ce renoncement mais déçut de ne pouvoir plus jouer avec le renard le lièvre s’en va courir autour du loup au aguets. Ce dernier fou de rage de voir le lièvre perturber sa chasse tente de se saisir de l’impertinent. Malheureusement ses mâchoires puissante et précise démembrèrent la branche derrière le lièvre malin. Alors que d’un pas énervé le loup se dirige vers la foret le lièvre lui demande pourquoi il s’arrête en si bon chemin alors qu’un bon repas l’attend et voici la réponse de ce dernier:
« -mon rapide ami je ne me fatiguerait plus a tenter de vous croquer puisque mon estomac crie famine je m’évertuerait a chasser ce que je peu manger. »
Fier mais déçut le lièvre cours vers les terres de sa majesté le lion. Ce dernier dormant encore se leva agacer après que le lièvre sur le dos lui ai sauter. D’un geste brutal de la patte le lion tente d’éventrer l’impertinent puis voyant le voyou se rire de lui à quelques mètres de là il se recouche d’un air las. Le lièvre lui demande alors pourquoi il ne protége pas son territoire en le jetant dehors et voici la réponse de ce dernier:
« -mon stupide ami je ne cours pas après ce que je ne peu attraper et je préfère laisser a d’autre la tache de venger l’impertinence dont vous faite preuve. »
Fier peu être mais seul et sans occupation le lièvre s’ennui depuis quelques semaines au fond de son terrier. A quoi lui sert-il d’être le meilleurs si personne ne joue avec lui. Alors que le rapide lièvre broie du noir il entend qu’on l’appelle. Sortant la tête de son terrier par une issue éloigné il voit le scorpion l’attendant devant son entrée. Gardant prudemment ses distances le lièvre salut le scorpion:
« - hé vil animal de l’ombre que fait-tu prêt de mon terrier ? tu pensait me surprendre si facilement ? tu ne connaît dont pas ma réputation ? le renard, le loup et le lion m’ont déjà reconnu comme supérieur à eux … passe t’on chemin tu ne fera pas mieux qu’eux. »
Le scorpion avec sa verve légendaire répondit:
« - ah mais tu te méprend sur mes intentions c’est justement parce que ces grands animaux m’ont avouer n’avoir jamais réussit à t’arrêter que je suis venu te voir. J’aurait besoin de tes services puisque les rats m’ont pris mon poison et que je ne peu plus piquer pour me nourrir. »
Joignant l’acte à la parole le scorpion plante son dard dans le sol et le remonte montrant que rien ne s’écoule.
« -si tu m’aide tu sera estimé non plus comme le vainqueur de ces trois idiot mais comme le sauveur du grand et vil scorpion …qu’y a t-il de plus prestigieux ? »
Réfléchissant un instant le lièvre comprend qu’il vaut mieux apparaître comme un sauveur que comme un fuyard.
« bien je vais t’aider scorpion, ce soir j’aurais récupérer ton venin. »
Le lièvre cours vers le dépotoir des rats les poussant sur son passages, prenant le poison et s’enfuyant aussi vite qu’il était arriver. Alors fier de lui tandis que le jour est sur le point de finir il arrive devant le scorpion.
« Voilà de quoi vous sauver maître scorpion. »
Ce dernier le pique tandis que le vif animal lui remet le butin. Lentement le petit animal sent le poison le paralyser. Alors le scorpion parla et voici ce qu’il lui dit:
» finalement tu n’était ni le plus malin, ni le plus rapide, ni le plus fort mon jeune imbécile … tu était juste le plus prétentieux. Maintenant que tu n’est plus là le lion , le loup et le renard pourrons retrouver leurs place et me remercier de t’avoir éliminer. Je regretterait tous de même que tu n’ai pas pu mieux servir mes intérêts. »
Le scorpion partant en riant laissa le Lièvre agonisant certain que les charognards finirait ce qu’il avait commencer.